Arguments contre l’influence du CO2 sur la température
1 Avant-propos
La liste qui suit n’est pas exhaustive.
2 Arguments
La rétro-radiation par les GES, et d’une manière plus générale, les échanges internes d’énergie entre l’atmosphère et la surface n’ont aucune influence sur la température de surface. Link.
Un calcul assez lourd, mais fondé sur des hypothèses réalistes très simples reconstitue fidèlement les températures observées avec une différence entre les moyennes calculée et observée d’à peine quelques dixièmes de degré, bien inférieure aux 33 °C annoncés par la NASA, pour tout le CO2 présent sur la Planète. Link
Mes analyses montrent qu’environ 75% du CO2 atmosphérique est d’origine naturelle. Link
Il y a effectivement une relation linéaire entre le logarithme du CO2 naturel et la température. Trois approches différentes donnent des résultats très voisins. Cette relation est bidirectionnelle. Link
Les analyses de corrélation croisée entre les variations de température et les variations de CO2 montrent que le CO2 suit la température avec un décalage de 8 mois. Link
Ceci confirme une étude antérieure de Ole Humlum (2013). Link
Les analyses de causalité confirment la bidirectionnalité. La causalité est très marquée dans le sens T=> CO2. Elle est beaucoup plus faible dans le sens contraire. Link . C’est vraisemblablement parce que l’augmentation de température causée par le total des émissions anthropiques de CO2 depuis l’ère pré-industrielle est très faible (0.05 °C). Link
Koutsoyiannis (2020 et 2023) aboutit aux mêmes conclusions en utilisant des analyses de causalité plus sophistiquées. Link et Link
Les études précédentes sont basées sur les observations de CO2 et de température depuis environ 1960. Dans une étude plus récente basée sur des proxys paléoclimatiques, Koutsoyiannis (2024) a confirmé ces résultats pour des périodes beaucoup plus longues (2000 ans et un million d’années). Cfr Link
L’institut norvégien de statistiques ne voit pas d’influence du CO2 sur la température au cours des 200 dernières années Link :
Using theoretical arguments and statistical tests we find, as in Dagsvik et al. (2020), that the effect of man-made CO2 emissions does not appear to be strong enough to cause systematic changes in the temperature fluctuations during the last 200 years.