Influence du Soleil sur la température
1 Avant-propos
La liste qui suit n’est pas exhaustive. Elle sera complétée par quelques analyses personnelles non finalisées.
2 Arguments
La régression directe de la température océanique par l’irradiance totale solaire produit une mauvaise corrélation. C’est tout à fait logique, parce que cette approche suppose que l’équilibre thermique s’établit très rapidement. Link .Cette approche ignore complètement l’inertie thermique des sols et des océans qui fait que les variations de température apparaissent avec un retard par rapport aux variations d’activité solaire.
Un modèle thermique simple permet d’en tenir compte. Link et Link et Link
Une solution approchée de ce modèle thermique est obtenue en moyennant l’activité solaire sur une centaine d’années. L’ITS moyennée nrl2 du LISIRD n’a pas cessé d’augmenter depuis 1900. Link .Ceci explique pourquoi la température n’a pas encore diminué malgré la baisse d’activité du soleil durant ses 2 derniers cycles.
Le rayonnement solaire mesuré au sol à Uccle et à De Bilt a augmenté fortement au cours des dernières décennies.
Malgré cela, ces instituts météorologiques basent leurs projections de température en se basant sur les scénarios apocalyptiques RCP du GIEC.
Ce modèle combiné avec un terme harmonique de faible amplitude et d’une période de 66 ans reproduit les températures océaniques observées avec une excellente corrélation. Notez qu’il explique aussi le petit maximum de température observé vers 1950 Link. Le GIEC n’arrête pas d’essayer de le gommer parce qu’il est contraire à ses thèses. Le climategate n’est pas terminé. Certains organismes n’arrêtent pas de publier des nouvelles versions de leurs données, perdant ainsi toute crédibilité.
Des analyses de causalité statistique montrent que l’ITS moyennée est la cause de la température et que l’ITS non moyennée n’en est pas la cause. Link
Le signal de la température océanique contient véritablement la signature de l’activité solaire. On retrouve en effet tous les cycles solaires dans la corrélation croisée entre l’activité solaire et la température océanique. Link
De plus, les maxima de corrélation sont décalés d’un quart de la période moyenne (11 ans) des cycles solaires, exactement comme le prédit la solution de l’équation différentielle du modèle thermique pour un signal d’entrée sinusoïdal. Link
Losqu’on lisse le signal de la température pour neutraliser l’impact des éruptions volcaniques et des épisodes El Niño/La Niña, la corrélation est carrément impressionnante. Link
L’analyse produit une bonne projection rétrospective. C’est normal, puisque le climat des 20 prochaines années est déjà connu à 80% aujourd’hui. Link
Le modèle reproduit d’une manière vraisemblable la sortie du petit âge glaciaire. Link