A propos des gaz à effet de serre
Le mécanisme de rétro-radiation du GIEC ne peut avoir une influence sur la température de la surface terrestre
Mises-à-jour
2023-08-22 | Intégration de réponses aux commentaires de lecteurs |
1 Résumé
En 2018 déjà, dans un article en deux parties (ici et ici), Georges Geuskens déclarait que la présence de CO2 dans l’atmosphère ne pouvait avoir aucune influence sur la température de la surface terrestre. En se fondant sur des données expérimentales, il expliquait qu’en raison de chocs inélastiques entre les molécules de l’atmosphère, le mécanisme de rétro-radiation imaginé par certains climatologues n’avait pas le temps de se mettre en place dans les basses couches atmosphériques et ne pouvait dès lors avoir aucune influence sur le climat.
Aujourd’hui, le mythe des gaz à effet de serre (GES) est plus présent que jamais. La croyance qu’une augmentation de la température soit provoquée par un mécanisme de rétro-radiation est toujours partagée par un grand pourcentage de la population.
Ce document ne considère pas que l’hypothèse de la rétro-radiation est absurde. Le rayonnement de fluorescence réémis par les GES a été observé à très haute altitude. Mais il montre que même s’il se produisait dans la basse atmosphère, ce mécanisme de rétro-radiation ne pourrait avoir la moindre influence sur la température de la surface terrestre.
Le raisonnement est très simple et à la portée de tous.
Il suffit de comprendre que le niveau de l’eau dans une baignoire ne peut être modifié par une pompe qui aspirerait son eau et l’y reverserait.
2 Bilan thermique de la Terre sans GES
Le Soleil est la principale source d’énergie de la Terre.
Une partie de la puissance qu’il émet est absorbée à la surface de la Terre après avoir traversé son atmosphère.
A chaque instant, la Terre évacue de l’énergie de sa surface. Cette énergie est émise vers le cosmos après avoir traversé son atmosphère.
La puissance qu’elle émet dépend de sa température. Plus la température est élevée, plus la puissance émise est importante.
Lorsque la puissance reçue est supérieure à la puissance émise, la température de la Terre augmente, et elle diminue dans le cas contraire.
Si la puissance reçue du soleil est constante, un équilibre finit par s’établir. La température s’adapte de telle manière que la puissance émise soit égale à la puissance reçue.
Lorsque la Terre est à l’équilibre thermique, l’énergie reçue et l’énergie émise pendant une période de temps \(\Delta t\) sont égales et l’augmentation de température provoquée par l’énergie reçue est exactement compensée par la diminution de température induite par l’énergie émise.
Ce mécanisme est équivalent à celui d’une baignoire dont le débit d’alimentation correspondrait à la puissance reçue du soleil, et le débit d’évacuation à la puissance émise par la Terre. Ce débit augmente avec la quantité d’eau qu’elle contient. Le niveau d’eau dans la baignoire correspond quant à lui à la température de la Terre. Voir Fig. 1
3 Bilan thermique de la Terre avec GES
Il y a beaucoup d’interprétations différentes du mécanisme d’action des GES. Dans leur article de 2009, Gerlich et Tscheuschner en mentionnent 14 et expliquent pourquoi elles sont toutes fausses.
Les schémas des volets A et B de la Fig. 3 sont basés sur des interprétations fort répandues de l’effet de serre radiatif que l’on retrouve notamment sur les sites de la NASA (ici et ici), du CNRS (ici et ici), de l’UCAR (ici) et de Wikipedia (ici). Vous n’aurez aucun mal à en trouver beaucoup d’autres.
Suivant ces sources, les considérations suivantes seraient d’application au sujet des GES.
La Terre dissipe l’énergie reçue du Soleil par trois mécanismes distincts: évaporation de l’eau, convection et rayonnement thermique.
Une partie du rayonnement thermique émis par la Terre est absorbé par des molécules de gaz dits à effet de serre (GES) qui rentrent dans un état instable d’excitation. En revenant à l’état de base, elles réémettent dans n’importe quelle direction l’énergie qu’elles avaient absorbée. Il est alors inévitable qu’une partie du rayonnement absorbé revienne sur la Terre. La Terre subit une rétro-radiation (parfois appelée back radiation en anglais) qui la réchauffe, de la même manière que le Soleil. La rétro-radiation est considérée comme un forçage radiatif dans le jargon du GIEC. Voir Fig. 2.
Selon le GIEC, en présence de GES, la température de la Terre doit augmenter. Celle-ci va alors émettre un rayonnement complémentaire qui compensera celui renvoyé par les GES.
Cela semble logique et irréfutable, mais pourtant, ce raisonnement est entaché de plusieurs erreurs. La Fig. 3 permet de le comprendre aisément.
Volet A
Une fraction \(f\) du rayonnement émis par la Terre est absorbé par les GES. Le bilan thermique de la Terre s’en trouve déséquilibré de la quantité \(f\) puisqu’elle ne dissipe que la quantité \(1-f\) vers le Cosmos alors qu’elle reçoit la quantité \(1\) du Soleil.
Ce raisonnement est naïf: le déséquilibre vient du fait que le flux d’absorption \(f\) s’accumule en permanence dans les GES, comme si ceux-ci étaient un réservoir infini. Le schéma est incomplet. Il manque le flux de réémission qui empêche cette accumulation.
Volet B
La fraction \(f\) est réémise vers le bas et absorbée par la Terre. Selon le GIEC, ceci provoque une augmentation de sa température qui lui permet de dissiper cette énergie complémentaire. Elle est revenue à l’équilibre thermique puisqu’elle évacue maintenant la même quantité d’énergie que celle reçue du Soleil.
Ceci pose deux problèmes.
Le bilan n’est équilibré qu’en apparence. Le GIEC oublie de constater que la rétro-radiation doit maintenant augmenter proportionnellement à l’augmentation de l’énergie dissipée par la Terre. Elle est devenue égale à \((1 + f) \times f\), et la Terre doit dissiper une énergie égale à \((1+f) + (1+f)\times f = (1+f)^2\). On a beau répéter cette opération autant de fois que l’on veut, à chaque fois le déséquilibre augmente. C’est un système divergent et la température doit augmenter indéfiniment.
En effet, la première fois, la Terre émet \(1\) et la rétro-radiation vaut \(1+f\) :
\(E_1=1\)
\(R_1=1 \times f\)
La deuxième fois, la Terre émet \(1 + f\) et la rétro-radiation vaut \((1 + f) \times f\):
\(E_2 = 1 + f\)
\(R_2 = (1 + f) \times f\)
La troisième fois
\(E_3 = 1 + f + (1 + f) \times f = (1 + f)^2\)
\(R_3 = (1 + f)^2 \times f\)
La quatrième fois
\(E_4 = (1 + f)^2 + (1 + f)^2 \times f = (1 + f)^3\)
\(R_4 = (1 + f)^3 \times f\)
D’une manière générale, la n-ième fois
\(E_n = (1 + f)^{n-1}\)
\(R_n = E_n \times f\)
Ce diagramme contient une erreur subtile, mais fondamentale. Il est plus facile de la comprendre si on déplace le cercle rouge, origine de la flèche représentant le flux d’absorption. Il est situé quelque part entre la Planète et le Cosmos. Il vaudrait mieux le placer à la surface de la Planète. Physiquement, c’est là qu’il se situe. Il devient ainsi un orifice complémentaire de vidage de la baignoire. Il n’y a alors plus de dérivation dans le flux émis par la Terre qui file immédiatement vers le Cosmos. On s’aperçoit alors que tous les bilans sont équilibrés et qu’aucune augmentation de température de la Terre n’est nécessaire. On obtient ainsi le schéma du volet C.
Volet C
C’est le schéma correct s’il y a rétro-radiation.
Les mécanismes d’émission et d’absorption sont distincts. L’émission vers le Cosmos n’est pas affectée par l’absorption-réémission dont le bilan est nul. Elle est égale au rayonnement reçu du Soleil. Le bilan thermique de la Terre est nul, car elle émet ce qu’elle à reçu.
Le bilan énergétique des GES est également nul puisqu’ils réémettent ce qu’ils absorbent.
Obnubilé par la rétro-radiation, le GIEC ne voit que du rayonnement vers le bas, alors que celui-ci est en permanence compensé par un rayonnement équivalent vers le haut. C’est facile à comprendre en examinant la Fig. 2. Il suffit de remarquer que pour chaque flèche qui revient sur Terre, il y a exactement une flèche qui en sort.
La rétro-radiation ne peut avoir la moindre influence sur la température parce que le réchauffement provoqué par le rayonnement qui revient sur Terre est toujours précédé d’un rayonnement qui s’en échappe et qui induit un refroidissement équivalent.
Une pompe qui rejette dans une baignoire l’eau qu’elle y a aspirée ne modifiera jamais le niveau de son eau, quels que soient sa puissance et son débit. Elle n’a aucune influence sur le débit sortant qui, à l’équilibre, est égal au débit d’alimentation.
Le bilan thermique de la Terre est toujours équilibré. Elle réémet en direction du Cosmos toute l’énergie qu’elle reçoit du Soleil, qu’il y ait des GES ou non. Si on retire du volet C tout ce qui concerne les GES, on retrouve exactement le schéma de la Fig. 1. Le déséquilibre thermique constaté par le GIEC n’existe pas.
Si les molécules de GES étaient particulièrement mal-intentionnées et renvoyaient systématiquement vers la Terre tout le rayonnement qu’elles absorbent, le coefficient \(f\) augmenterait, mais sans rien changer au bilan thermique. Leur effet ressemblerait à s’y méprendre à celui d’un miroir. Mais celui-ci ne vous réchauffe pas quand vous vous placez devant lui. Faites un petit montage. Placez un objet à l’intérieur d’une boîte dont toutes les faces internes ont été couvertes de miroirs. Si vous constatez un réchauffement de l’objet, brevetez immédiatement votre montage et vous deviendrez immensément riches.
Si vous vous perdez dans les subtilités des mécanismes d’absorption-émission d’énergie de la Terre, considérez le raisonnement suivant. La rétro-radiation est comparable à la pluie qui tombe du ciel. Celle-ci ne vient pas de nulle part. Elle provient de l’évaporation de l’eau des océans qui s’est condensée en altitude. Chaque goutte de pluie provoque une augmentation du niveau des océans qui ne fait que compenser la diminution de niveau qui a eu lieu lorsque la même quantité d’eau s’est évaporée, puis condensée pour former la goutte. Le bilan massique est nul. Il n’est pas nécessaire que la Terre augmente sa température parce que l’évaporation complémentaire augmenterait les chutes de pluie qui devraient à nouveau être compensées.
Les molécules de GES sont en équilibre énergétique. Elles n’ont aucun pouvoir réchauffant. Elles ne produisent aucune énergie. Seules des sources d’énergie, comme le Soleil, peuvent avoir un impact sur la température de surface de la Planète, mais pas des mécanismes internes dont le bilan énergétique est nul.
L’effet de serre radiatif n’existe pas, sauf dans l’esprit de ceux qui l’ont imaginé. L’expression “gaz à effet de serre” est particulièrement mal choisie. Le rayonnement absorbé et réémis par les GES vers la Terre, n’a aucune influence sur sa température de surface.
La clé de voûte du réchauffement climatique d’origine anthropique a disparu: les forçages radiatifs associés aux GES n’existent pas. Ils sont tous nuls. Tous les programmes, analyses, études et publications qui en dépendent n’ont aucun sens.
4 Conclusions
L’origine de l’hypothèse de l’effet de serre radiatif remonte à environ 200 ans. Voir ici.
Depuis lors, personne n’a constaté que c’est un mécanisme qui ne fait que réémettre la même énergie qu’il a préalablement absorbée et qu’il ne peut réchauffer quoi que ce soit.
Une subtile mais fondamentale erreur de principe dans ce qui se ramène à un simple problème de baignoire, a échappé à la sagacité de tous les scientifiques jusqu’ici. Elle est enseignée dans nos Universités aujourd’hui, diffusée par des centres de recherche de haute réputation.
Cette erreur a été exploitée et entretenue par le GIEC. Cette organisation a été créée pour soi-disant rechercher les causes de l’influence de l’Homme sur le climat. Elle dispose de moyens financiers considérables émanant de l’ONU.
En réalité, Maurice Strong, un riche homme d’affaires canadien et principal responsable de sa création a clairement affirmé que son but était de détruire nos sociétés industrielles par le biais du GIEC parce qu’il les considérait responsables d’une surexploitation de la Planète. Il pensait que passer par des voies démocratiques posait d’énormes problèmes de financement et n’avait aucune chance de succès. Passer par l’ONU permettait de bénéficier de budgets quasiment illimités en court-circuitant les contraintes démocratiques. C’était un fin renard, et ses plans sont en train de se dérouler comme il les avait prévus.
Cette organisation politique pseudo-scientifique a orienté la recherche dans le seul sens favorable à ses objectifs. Elle organise sa propagande alarmiste en s’appuyant sur des modèles informatiques dont les projections de température sont systématiquement plus élevées que la réalité parce qu’ils sont fondés sur une hypothèse qui est fausse. Ces modèles sont les seuls endroits au monde où un effet de serre radiatif existe.
Un nombre immense de publications scientifiques prouvant l’influence de l’Homme sur le climat sont fausses, bien qu’elles aient été revues par des pairs. Nous en sommes arrivés au point où les rapports complètement biaisés du GIEC servent de base aux cours enseignés dans nos Universités. Les professeurs qui osent aller à l’encontre du courant de pensée devenu dominant se font réprimer ou même licencier par leurs autorités académiques.
Une industrie prétendument verte s’est développée en bénéficiant de larges soutiens des pouvoirs publics aux dépens des contribuables et exerce un lobbying important pour favoriser son développement au détriment de l’industrie des combustibles fossiles.
Les messages du GIEC ont été amplifiés à l’infini par une presse incapable de discerner la vérité du mensonge et qui a fait preuve d’une mansuétude coupable et inexcusable lorsque les suppôts du GIEC ont été pris la main dans le sac lors de manipulations de données pour ajuster les relevés historiques de température qui ne cadraient pas avec leurs desseins (Climategate). Il est grand temps que la presse fasse son enquête sur le GIEC plutôt que de suspecter chaque climato-réaliste d’être un représentant du lobby pétrolier.
Des mesures politiques à caractère totalitaire ont été imposées. Elles poussent nos industries à la faillite ou à se délocaliser sous des cieux moins contraignants. Le monde Occidental s’est engagé dans une procédure de suicide économique collectif.
Nos sociétés doivent s’engager dans des plans de transition énergétique horriblement dispendieux sans le moindre impact sur le climat. Le CO2, molécule essentielle à la vie, a été satanisé. Il doit être capturé et stocké en utilisant des techniques très coûteuses, alors que l’augmentation de sa teneur dans l’atmosphère au cours des dernières décennies est responsable du verdissement de la planète.
Les énergies renouvelables ne pourront jamais se substituer entièrement aux productions classiques, et en aucune manière fabriquer tous les produits issus de la pétrochimie.
Nos jeunes ont été endoctrinés et sont terrifiés à l’idée de vivre dans un monde à l’avenir lugubre. La presse ne se soucie pas des groupes qui financent leurs manifestations pour sauver la planète d’un mal inexistant, et la Justice fait preuve d’une condescendance injustifiable à cet égard.
La libre pensée doit être éliminée par la mise en place de systèmes de fact-checking et de ministères de la Vérité. Google, Facebook, Wikipedia, Twitter (avant la reprise par Elon Musk) et l’ONU déclarent posséder cette science “définitivement établie”. Des projets de loi pour censurer tout discours climato-réaliste sont prêts à être adoptés. Les personnes lucides qui osent prendre position contre ceux qui prétendent être les seuls à détenir la Vérité doivent être emprisonnées.
Aux Pays-bas une Université organise une formation pour aider les psychologues à convertir les climato-sceptiques à la nouvelle religion verte.
On veut nous imposer de vivre sans dépasser un budget carbone. Les gens ne pourront plus se déplacer à plus d’un quart d’heure de leur domicile. Les voyages en avion seront strictement limités, sauf pour les élites. Ceux qui ne respecteront pas les règles seront jugés et condamnés.
Les personnes âgées devront se suicider pour laisser la place aux jeunes par manque de place écologique.
Les sociétés et individus dont l’activité est jugée incompatible avec les critères ESG ne trouveront plus de financement auprès des banques influencées par d’énormes groupes financiers idéologisés.
Il faut arrêter de manger de la viande. Le cheptel bovin doit être sacrifié sur l’autel des GES, parce que quand il digère, il produit et rote du méthane. Ce GES serait encore beaucoup plus puissant que le CO2.
Une dictature écologique est en train de se mettre en place au-dessus des souverainetés nationales sous le faux prétexte que si on ne fait rien, la Terre va se transformer en boule de feu. Il n’ y a plus de majorité politique pour s’y opposer. La Justice, convertie à l’alarmisme climatique prononce des jugements biaisés inéquitables pour imposer une conformité à des règles infondées issues d’une secte du climat.
La situation est vraiment consternante. Démocratie, où es-tu ?
Il est grand temps de faire marche arrière. Un grand reset s’impose, mais pas celui imaginé par le WEF qui veut asservir la population mondiale en la terrorisant.
Le GIEC devrait être démantelé. L’article 2 de ses statuts est devenu sans objet, maintenant que l’on sait que les GES n’ont aucune influence sur le climat. Il est désormais très clair que les alarmistes climatiques sont les véritables négateurs du climat.
Trente années d’intense battage médiatique nous ont plongés dans un état de confusion mentale avancé. J’espère que cet article vous en a sortis et que vous êtes maintenant libérés du lourd fardeau de culpabilité dont on vous a affublé..
J’espère que chacun reconnaîtra ses erreurs et que ce retour à la normale, fondé sur une écologie rationalisée, se fera dans le calme. En attendant, préparons le futur de manière sensée en profitant de la clémence actuelle du Soleil. Il est de très loin la première source d’énergie de la Planète. C’est lui qui règle climat. Nous ne pouvons que nous plier à ses volontés. Prétendre le faire à sa place par de la géoingénierie, c’est jouer aux apprentis sorciers.
5 Le futur
Il dépendra de vous.
Ces dernières années, la situation n’a fait que se dégrader de manière exponentielle. Le matraquage de l’opinion publique est de plus en plus fort. Les médias nous rebattent actuellement les oreilles avec une vague de chaleur sans précédent dans le Sud de l’Europe, dont les prétendus records de température n’apparaissent pourtant pas dans les relevés des stations de mesure. C’est écœurant.
Aujourd’hui, nous disposons enfin d’un argument vraiment simple qui met définitivement à mal les thèses du GIEC. Encore faut-il le diffuser.
La Vérité va finir par paraître au grand jour, mais cela peut prendre du temps. Il a fallu 200 ans aux médecins pour arrêter la pratique des saignées après qu’il ait été prouvé qu’elles n’avaient aucune efficacité.
Face au GIEC qui dispose de moyens de moyens colossaux pour répandre un alarmisme climatique relayé par une presse qui a complètement perdu ses repères, nous ne représentons pas grand chose, mais si nous ne faisons rien, nous serons tous responsables de la survie du mythe du réchauffement climatique d’origine anthropique.
Il faut donc prendre l’initiative. Ceux qui doutent de l’influence de l’Homme sur le climat sont beaucoup plus nombreux qu’ils ne le pensent, mais trop peu de gens le savent.
Tous les scientifiques, qui pensent avoir montré que l’effet de serre radiatif est réel, doivent reconnaître leur erreur. Cela va être très difficile, personne n’aime admettre s’être trompé.
Les climato-réalistes qui y ont cru ne fût-ce qu’un tout petit peu, peuvent et doivent affirmer clairement que cet effet n’existe pas.
Prenez votre bâton de pèlerin et diffusez la bonne parole, sans peur de vous faire contredire. C’est vous qui avez raison. Diffusez cet article en masse, comme cette bonne blague qu’un ami vous a transmise. Intervenez dans les forums de discussion et faites savoir aux trolls alarmistes que vous existez. Ne restez pas muets.
Arrêtez de financer ou soutenir vos tortionnaires pour qu’ils vous infligent des mauvais traitements.
Parlez-en à la presse. Dites à votre journal préféré que vous ne l’achèterez plus parce que vous en avez marre de lire tous les jours ses articles qui ne cherchent qu’à vous culpabiliser et terroriser pour des raisons inexistantes.
Abordez vos représentants politiques. Faites leur comprendre que vous refusez désormais de voter pour ceux qui détruisent vos emplois en continuant à propager des délires climatiques, et qui refuseraient d’annuler toutes les dispositions qu’ils ont prises en dépit du bon sens.
Ayez toujours à portée de main ce document du principe de l’effet de serre. C’est un fichier PDF de 3 pages. Vous pouvez le télécharger en cliquant sur ce lien. N’hésitez pas à en discuter dans une soirée entre amis, ou pour tenter de dés-endoctriner vos enfants qui n’y arriveront pas tout seuls.
Présentez la page 1, celle où toutes les flèches sont rouges dans la figure du haut. Expliquez que les flèches vers le bas sont sensées réchauffer la Terre. Passez à la page 2, celle avec les flèches bleues dans la figure du haut. Faites constater que chaque flèche qui revient sur Terre est toujours précédée d’une flèche vers le haut, que le réchauffement est toujours précédé d’un refroidissement équivalent. Faites la comparaison avec la pompe. Expliquez que le bilan thermique de la Planète est indépendant de la présence de GES. Faites la comparaison avec la pluie (page 3). A ce point-ci, vos contradicteurs devraient être couverts de ridicule. Si vous ne convainquez personne, la situation est désespérée.
Vous pouvez essayer de faire de même sur Facebook ou YouTube. L’audience sera plus large, mais vous risquez d’être une nouvelle victime du fact-checking. Aujourd’hui, vous aurez plus de chance sur Twitter.
Il est désormais certain que l’effet de serre radiatif n’existe pas pour une raison toute simple. Miraculeusement, la balle a changé de camp. Mais si les gens lucides continuent à se comporter comme des moutons, ils ne devront pas s’étonner de se retrouver tondus jusqu’à l’os.
Ne restez pas passifs en espérant que d’autres vont se mouiller à votre place. Ne perdez pas un seul instant. Si vous avez réussi à convaincre quelqu’un, persuadez-le d’effectuer la même démarche que vous. Sinon, nous devrons vivre avec des règles permanentes de confinement climatique et autres dispositions totalitaires de plus en plus contraignantes. Cela risque d’arriver beaucoup plus vite que vous ne l’imaginez. Les plans sont déjà prêts.
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